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"Comment retrouver confiance en vous et vous affirmer dans votre vie"


3 trucs puissants pour vaincre vos peurs par Martin Latulippe

Comment fait-on pour gérer la peur? Ou voire même, affronter ses peurs? Vous savez que
la peur est l’obstacle numéro un des gens pour les empêcher de poursuivre leurs rêves?
Ou même devenir cette meilleure version-là de qui ils aspirent devenir.
Imaginez, on va avoir la chance de vivre dans cet état d’esprit sans aucune peur. Vous
voulez faire quelque chose. Vous le faites. Vous voulez rencontrer une personne. Vous
la rencontrez. Vous voulez appliquer pour une promotion, pour un nouvel emploi et vous
le faites. Il n’y a aucune peur. Il n’y a aucune crainte. Il n’y a aucune anxiété.
C’est vraiment en endroit optimal dans lequel on aimerait souvent se retrouver. Mais la
réalité est très souvent autre pour les gens qui sont aux prises avec la peur de passer
à l’action. L’anxiété du résultat final. Est-ce que c’est réellement ce que
je veux? Est-ce que ça va fonctionner? Est-ce que les autres vont penser? Et ça peut paraître
absurde pour les gens qui n’ont jamais vécu dans la peur mais je sais extrêmement et
très bien à quel point la peur est réelle lorsqu’on est habité par la peur.
Ceux qui ne connaissent pas mon histoire, j’étais ce jeune étudiant universitaire
qui dès sa sortie des études… En fait, je suis le seul conférencier au Canada qui
dès sa sortie des études a décidé, avec l’idée brillante de devenir un conférencier
et auteur dans le domaine du leadership d’inspiration. Certes, j’étais déjà intéressé par
le sujet mais un incident où j’ai été à quelques millimètres de frôler la mort,
j’ai reçu un coup de patin ici à la gorge, m’a fait voir la vie complètement d’une
façon différente et c’est ce qui m’a mené à dire, et bien c’est maintenant
le temps et maintenant, je veux devenir conférencier. Je le sais que je n’ai pas d’expérience.
Je le sais que je n’ai aucune crédibilité. Je le sais que je ne sais pas comment faire
des conférences devant le public et comment gérer une entreprise mais je me lance maintenant.
Alors ça, ça peut paraître audacieux mais derrière cette audace-là, il y avait une
multitude de peurs, une multitude d’anxiétés. Il y a une différence entre faire un discours
dans une chambre de hockey et se faire payer pour la parole en public.
Alors moi qui ai été capitaine d’une équipe de hockey pendant des années et des années,
lorsque j’étais un athlète, lorsque je me suis lancé, je me suis mis à faire des
crises d’anxiété. Imaginez : capitaine de l’équipe canadienne aux Championnats
du monde universitaire. Un leader! Anxiété au point tel qu’un jour je m’étais même
caché dans une garde-robes, dans un placard. Je m’étais caché parce que je ne voulais
pas aller faire une conférence et mon mentor, toute la journée, appelait à la maison et
me cherchait. C’était sa femme qui devait me présenter pour cette conférence-là en
particulier, à laquelle je n’ai jamais osé me présenter. Cette journée-là, j’ai
su c’était quoi la vraie peur. Avoir la gorge serrée, la bouche sèche, le battement
de cœur qui accélère, la roue qui tourne tellement vite ici à l’intérieur avec
des scénarios de peut que ça te paralyse complètement. Et je me suis promis que plus
jamais la peur allait avoir cet impact-là sur moi par rapport à ma destinée.
Évidemment ça a pris un travail énorme alors aujourd’hui je vous partage trois
réflexions parce que je suis très sensible à ces gens-là qui laissent la peur les arrêter,
les paralyser par rapport à leurs plus grandes visées, par rapport à leur destinée, parce
que j’ai été cette personne-là.
Il faut bien comprendre une chose. Même aujourd’hui, après avoir fait un peu plus de 2000 conférences
un peu partout sur la planète, avoir partagé la scène avec des leaders comme Sir Richard
Branson, Jack Infield, le général Rick Hillier, Amanda Lang, encore aujourd’hui, je ne pourrais
pas vous dire que je suis en absence de peur. Par contre, j’ai appris à gérer la peur.
Et malgré la peur, j’essaie de mettre des stratégies en place pour continuer à continuer
vers mes plus grandes visées.
La première réflexion que je veux partager avec vous est très simple. C’est de réaliser
qu’à l’intérieur de vous on a tous et toutes des rêves que l’on caresse, des
projets que l’on veut réaliser. Et moi je crois que la vie et la peur, c’est un
peu comme le soleil et une éclipse. Vous voyez, vous avez dans votre tête, vous avez
eu il y a quelques années des rêves qui représentent le soleil. Et puis pensant des
années, vous avez cru que c’était possible et pendant des années, ou même à chaque
fois que vous entendez parler de ce sujet-là, vous le sentez dans votre corps. Il y a une
réaction physique, chimique, physiologique. Ça vous stimule. Par contre avec le temps,
avec ce que vous allez écouter de votre beau-frère, des médias. Peu importent vos sources, et
bien vous avez laissé la peur venir éclipser lentement mais sûrement votre rêve. Si vous
continuez à nourrir l’éclipse, c’est-à-dire la peur, et bien c’est exactement ce que
vous allez obtenir : un effet noir, sombre et sans lumière et sans éclat par rapport
à votre visée, votre vision et ce que vous tentez de réaliser.
Alors notre premier devoir par rapport à la peur, c’est de revenir à la source et
à la base et à la nature de nos objectifs et de se dire : mon soleil à moi, c’est
quoi? Qu’est-ce qui me donne envie de briller?
Est-ce que c’est un voyage à l’étranger? Est-ce que c’est aller faire de l’aide
humanitaire? Est-ce que c’est d’écrire un livre? Est-ce que c’est de commencer
à faire des conférences? Raconter mon histoire? Me lancer en entreprise? Qu’est-ce que c’est?
Il faut retourner à la base de ses rêves et réaliser qu’ils sont très souvent,
ensevelis sous cette éclipse-là. On a laissé s’éclipser nos rêves. Ma mère me disait
toujours, si on passe notre temps à analyser, on finit par paralyser. Et bien c’est un
peu ce qui se passe ici. Il y a beaucoup de gens qui sont en mode paralysie parce qu’ils
laissent la peur éclipser leur destinée. Moi je vous dis, tassez l’éclipse et refaites
la clarté sur ce que vous voulez réellement.
La deuxième réflexion me vient, en tout cas, moi elle m’a énormément aidé, elle
vient de la légende biblique de David et Goliath. David était ce petit guerrier-là
qui devait affronter le géant Goliath. Et puis si David réussissait à vaincre Goliath,
son peuple au complet allait être libéré et plus jamais il n’allait être en guerre
avec le peuple adverse. Et bien David, la légende dit qu’il était simplement armé
d’une petite fronde et puis il regardait le géant qui était très confiant, qui était
plus gros, qui était plus musclé, qui était certain de gagner, que ça allait être facile
et qu’un un petit coup de fronde, il a réussi à boum! coucher le géant Goliath. Je crois
qu’on a tous et toutes un Goliath dans notre vie. Pour moi, c’était la parole en public.
Pour moi, c’était ce que les autres pensaient de moi. L’œil des autres m’affectait
énormément. Je devais réussir à lancer ma fronde à ce Goliath-là dans ma vie à
moi. Je crois qu’il n’y a rien de plus puissant que d’affronter son Goliath. Je
le sais que c’est épeurant. Je le sais qu’il est éclipsé et qu’on se dit qu’on
n’y arrivera jamais. Mais le meilleur moyen de gérer ses peurs et d’affronter ses peurs,
c’est de les affronter et même lorsque l’on sent qu’on est juste muni d’une
petite fronde, y aller quand même. Ça sera beaucoup plus constructif que de demeurer
paralysé et de nourrir des scénarios d’éclipse sombre par rapport au résultat qui pourrait
arriver. Si on échoue, qu’est-ce que les autres vont penser? Et ainsi de suite. Et
qu’est-ce que David a fait en affrontant Goliath? Il a permis à son peuple de se libérer.
Seulement lorsqu’on affronte nos peurs, peu importe le résultat, lorsqu’on est
dans l’affront de nos peurs, lorsqu’on est dans l’action face à nos peurs, on
se libère très souvent de cette émotion-là. Est-ce qu’elle disparait complètement?
Non. Avec le temps elle peut disparaître. Avec le temps elle peut se gérer. Mais si
on demeure paralysé, ce sera impossible de la gérer. Alors, quel est votre Goliath?
Commencez à mettre une stratégie en place dès maintenant pour agir comme un David et
affronter votre peur. Un pas à la fois. Nonobstant du résultat, il faut être dans la progression
et dans l’action et affronter ces Goliath à nous. C’est essentiel, on s’en sort
pas.
La troisième réflexion, et non la moindre, est celle que j’appelle changer votre scénario
en renversant vos «et si…» Voici comment ça fonctionne. Lorsqu’on fait face à une
situation de peur, on va rentrer dans une énumération de «et si…». Et si j’échoue.
Et si ça ne fonctionne pas. Et si je n’obtiens pas le financement. Et si
personne ne regarde mes vidéos. Et si je ne vends aucun livre. Et si personne ne visite
mon site Internet. Et ces «et si…» vont toujours être des scénarios négatifs. En
fait, il y a une chercheuse exceptionnelle du nom de Dr Susan Jeffers qui a écrit un
livre fantastique qui dit, ressentez-le mais osez le faire quand même donc la peur («Feel
the fear, but do it anyway»). Dans son livre, elle démontre que 90 % des scénarios que
l’on va construire au quotidien par rapport à la peur de nos «et si…» n’arriveront
jamais. Pensez-y. L’impact que ça pourrait avoir de changer ces scénarios-là et que
vous vous dites : et si les gens lisaient mon livre? Et si mes premières vidéos allaient
peut-être avoir peu de personnes mais que ça allait mener à vivre ma vie des rêves?
De faire une différence avec mon message? Avoir un impact? Devenir le leader que je
veux devenir? Et si cette décision-là était la meilleure? Et si cette décision changeait
ma vie? Et si quitter mon emploi était le début d’une aventure fantastique, que je
ne regretterai jamais?
Stratégie simple, mais quand on pense que 90% des scénarios que l’on va construire
au quotidien ne va jamais se produire et qu’on va très souvent choisir des «et si…»
négatifs, et bien je pense qu’on peut tout aussi bien en construire des positifs qui
vont nous mettre dans une meilleure position pour affronter nos peurs. Parce que plus on
nourrit des «et si…» négatifs, destructifs, pessimistes et bien le plus on demeure dans
la paralysie et le plus on demeure dans le : oui mais c’est Goliath et je ne suis que
David. Lorsqu’on parle de ces choses-là, très souvent on aime se compliquer la vie.
Et ce n’est pas compliqué. Très souvent il faut être dans l’action. On n’éliminera
jamais la peur au complet, l’absence de peur est quasiment impossible. Si vous n’avez
aucunement peur, c’est probablement que vous n’essayez pas quelque chose d’assez
gros. Si vous n’avez jamais peur, c’est probablement que vous n’osez pas poursuivre
votre propre légende personnelle qui vous exposerait à vos vulnérabilités, à vos
imperfections. Quand on décide de faire ça, et bien ça prend une bonne dose de courage,
certes mais le courage commence par clarifier de nouveau. C’est quoi nos objectifs, nos
rêves? Le soleil. Réaliser et prendre conscience qu’on les a laissés s’éclipser par toute
sorte de mythes, toutes sortes de faussetés, de croyances limitantes au fil des ans et
que si on n’agit pas, ça va continuer à éclipser nos rêves constamment. Il faut
affronter notre Goliath pour se libérer et comme on vient de voir et bien il faut changer
nos «et si…» parce que 90% des «et si…» négatifs ne deviendront jamais réalité.
En terminant, je m’en voudrais de ne pas vous rappeler cette boutade que j’adore
qui dit qu’il vaut mieux vivre avec des remords qu’avec des regrets. Moi cette phrase-là
m’interpelle énormément aussi pour avoir perdu des gens très proches dans ma vie,
qui malheureusement n’ont plus la chance de jouer la «game» de la vie. Ou même d’avoir
accompagné des gens qui sont décédés de façon tragique. Que ce soit l’histoire
du jeune Shawn Collins, ce jeune de 13 ans que j’ai accompagné en 2007 pour l’aider
à réaliser son dernier rêve avant qu’il ne décède, qui était d’écrire un livre
sur sa vie. J’ai passé deux mois à avoir le privilège fantastique de l’interviewer
sur la vie, pour écrire un livre, coucher sur papier sa vie et sa philosophie. Shawn
n’avait aucun regret. Pourquoi? Parce qu’il avait été énormément dans l’action.
Il avait été énormément dans l’affront de ces peurs-là. Il en avait aussi des peurs.
A tous les jours mais plutôt que de se dire, pourquoi est-ce que ça m’arrive, il se
disait : pourquoi pas moi? Je vais le faire. Je vais tenter ma chance. Je pense qu’on
a tous et toutes cette chance-là mais il n’en revient qu’à nous de la saisir.
Alors voilà mes amis. J’espère que vous avez retrouvé de la valeur dans cette stratégie-là
et dans cette conversation-là qu’on vient d’avoir ensemble. Si vous avez aimé ça
et bien gênez-vous pas pour le partager avec les gens que vous aimez. Simplement copier
le lien de cette vidéo-là et envoyez-le à vos contacts. Partagez-le avec les gens
que vous aimez, que vous avez peut-être l’impression qu’ils vivent dans la peur. Qui ont laissé
leurs rêves s’éclipser. Partagez-le, c’est gratuit. C’est pour vous. C’est votre
façon peut-être de payer au suivant et évidemment si vous n’êtes pas membre de notre chaîne
YouTube, je vous demande simplement de vous abonner en cliquant s’abonner ici ou juste
là en bas aussi. Ça va me faire plaisir à chaque fois qu’on va avoir une nouvelle
vidéo, boum! Vous allez la recevoir immédiatement dans le confort de votre maison, ou de votre
bureau ou dans le creux de votre main si vous utilisez davantage les téléphones intelligents.
Alors merci beaucoup de votre présence mes amis. Jusqu’à notre prochaine communication,
soyez reconnaissant et reconnaissante et célébrez la magie d’aujourd’hui et merci sincèrement
de faire partie de ces gens-là qui ont le courage de vouloir bâtir un monde meilleur.
C’était votre ami Martin qui vous dit, au revoir tout le monde!

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