Dîtes-moi où vous envoyer GRATUITEMENT votre pack de 4 vidéos

"Comment retrouver confiance en vous et vous affirmer dans votre vie"


Votre rêve peut devenir réalité, voici comment David Laroche vous dit “Et si votre rêve devenait possible”

[Occupez vous de votre cas]

Coaching par email sur 21 jours, avec vidéo et exercices permettant de développer la Confiance en soi, acquérir une Attitude positive, et atteindre la Sérénité et la Sagesse. Occupez-vous de votre CAS, c’est ici que tout commence…

J’avais des dizaines de sujets qui me passionnaient dont j’avais envie de vous parler, ça a été vraiment une vraie question pour moi de choisir.

Alors, du coup, je me suis posé une question, si j’avais la dernière occasion de m’exprimer auprès des personnes que j’aime, si c’était le dernier jour de ma vie de quoi je voudrais parler?

Aujourd’hui, j’aimerais vous parler du pouvoir des rêves et 3 découvertes que j’ai faîtes à ce sujet.

La première question que j’aimerais savoir c’est qui ici à un rêve? Levez la main.

J’ai toujours peur qu’il y ait personne qui ai des rêves ! Super.

Alors, un bon moyen de vous en parler, je voudrais vous parler de cet arbre, finalement, cet arbre est petit, il est fragile comme on vient de le voir et il pourrait se passer pleins de choses.

Il pourrait mourir d’une sécheresse, il pourrait manquer d’eau, on pourrait l’écraser, il pourrait tomber malade.

Finalement, si je m’en occupe, je pourrais même échouer, du coup, ça soulève une question.

Pourquoi s’en occuper, alors que finalement nous ne sommes pas certains qu’il va devenir un grand arbre?

Pour répondre à cette question, j’aimerais vous raconter une histoire.

L’histoire de quelqu’un que j’ai bien connu. Imaginez, une personne mal dans sa peau, timide, qui était pas à l’aise avec les autres, pas à l’aise avec la vie, pas à l’aise avec lui-même. Il passe de longues heures à jouer à des jeux vidéos pour fuir la vie, fuir ses rêves, fuir ses projets.

On connaît tous ce genre de moments où il y a une voix à l’intérieur de nous qui nous murmure de faire quelque chose pour nos rêves et on a tous développés notre propre stratégie pour ne pas entendre cette voix.

Parmi, les plus répandus que j’ai trouvé, j’ai trouvé le chocolat et la tartiflette.

Alors, je sais pas vous mais quand j’ai le ventre rempli d’une grosse bonne tartiflette, que je suis assis dans mon canapé, là, c’est clair, j’entends pas, la petite voix qui me dit, tu devrais faire ça pour tes rêves.

Alors, pour en revenir à cette personne, secrètement, il avait des rêves : il rêvait d’être plus confiant, il rêvait d’être plus à l’aise, il rêvait de pouvoir de créer une vie stimulante et une vie sur mesure.

Son problème, c’était pas de ne pas savoir comment faire, son problème c’est qu’il se disait :

“A quoi bon faire quoi que ce soit alors que je ne suis pas sur que ça va marcher?”

Il avait tellement peur de l’échec, tellement peur de ne pas réussir, qu’il ne faisait rien et puis un jour il tombe sur une vidéo, une vidéo de Martin Lutherking, le fameux discours que vous devez connaître : “I HAVE A DREAM”.

Cette vidéo lui met des frissons dans le dos et lui fait prendre une décision.

La décision de se créer une vie extraordinaire, à ses yeux en tous cas et il fait une première découverte et pour vous expliquer cette première découverte, je voudrais revenir à cet arbre.

Effectivement, pourquoi s’en occuper de cet arbre? Alors que nous sommes pas certains, qu’il va devenir un jour un grand arbre, c’est vrai, nous avons aucune garantie, j’en ai aucune, aucune garantie que je vais réussir à m’occuper de cet arbre.

En revanche, je peux garantir un truc, c’est que si j’écrabouille cet arbre, moi-même, la je peux vous garantir qu’il sera jamais un grand arbre, alors, je vous rassure c’est un superficiel, il est en plastique celui-là.

C’était ma première découverte.

Si on écrase nous-même nos rêves, il n’y a plus aucune chance.
Oui, nous sommes par certains, ni d’y arriver, n’y d’échouer, alors pourquoi pas tenter?

Le jeune dont je vous parlais, la personne dont je vous parlais c’était moi, je passais mon temps à m’écraser, je passais mon temps à m’insulter, je passais mon temps à écraser mes rêves sous prétexte que c’était pas possible, sous prétexte que les autres me disaient que c’était pas possible, sous prétexte que les statistiques me disaient que c’était pas possible.

Et puis un jour j’ai vraiment compris que, peut-être que c’était pas possible amis de toutes façons si j’écrase moi-même le rêve là c’est sûr que c’est impossible.

Pour bien vous expliquer cette idée, j’aimerais vous raconter l’histoire de 5 personnes que vous connaissez certainement.

* Il a été viré de son équipe de basket, considéré comme trop mauvais : MICHAEL JORDAN

* Il a été refusé 3 fois dans une école de cinéma : STEVEN SPIELBERG

* Il est viré de son journal pour manque d’imagination : WALT DISNEY

* 30 maisons d’éditions vont lui dire que son livre n’a pas les ingrédients d’un bon livre : JK ROWLINGS HARRY POTTER

* Ces professeurs de chant vont lui dire qu’il n’a ni la taille, ni la voix, ni la culture, ils vont lui déconseiller de chanter : CHARLES AZNAVOUR

Mon propos la dedans, il n’est pas de dire que si tu y crois tu vas y arriver, bien entendu les 5 personnes que je vous ai citées avaient pleins d’autres choses pour réussir.

Mon propos c’est l’inverse, c’est que s’ils avaient écrasés eux-mêmes leur rêves, s’ils avaient crus les gens qui leurs ont dit que c’est impossible, s’ils c’étaient eux-mêmes quand ils sen sont dit que c’était impossible, on ne connaîtrai même pas leur nom.

Cette idée chez moi, a vraiment déclenché une frénésie, une envie de passer à l’action, alors, du coup, j’ai inversé la question :

De “Pourquoi agir alors que je ne suis pas sur d’y arriver?”

A “Pourquoi pas agir, vu que je ne suis pas sur d’échouer?”

Passons d’un monde ou il faut que ce soit 100% possible pour tenter.

A un mon ou c’est juste un peu possible je vais tenter.

J’ai à la base, un parcours qui est plutôt scientifique et donc j’aime ce qui est mesurable.

J’ai demandé à plusieurs dizaines de personnes à participer à une expérience et 4 000 ont joué le jeu.

Alors, on leur demande de penser à un rêve, à un projet important pour eux et pour lequel ils ont parfois des doutes, pour lesquelles ils se disent parfois ça c’est impossible.

Le test est simple, il dure 2 minutes et c’est 5 questions.

On leur demande d’évaluer leur niveau de confiance sur 10 et la moyenne elle est de 6/10 de confiance, juste en posant cette question là.

Ensuite, on leur demande, s’ils sont à 100% surs que c’est impossible et 92% des 4 000 personnes vont répondre que non, ils sont pas sur que c’est impossible.

En quoi, la question toute simple est intéressante?

C’est qu’on oriente leur esprit de l’impossible à ce qui est possible et cette question toute simple où j’oriente mon esprit va faire passer leur niveau de confiance, on leur demande à nouveau de s’évaluer, à 6.9/10 SOIT 16.95% de croissance, de confiance en plus.

Puis ensuite, on leur demande de penser à quelque chose qu’ils ont réussit, qu’il leur semblait impossible, là c’est encore plus intéressant parce qu’ils vont chercher une référence du passé qui va renforcer la croyance que l’impossible eput devenir possible.

Une fois qu’ils y pensent, on leur demande à nouveau de s’évaluer sur 10 dans leur niveau de confiance d’atteindre le projet ou le rêve qui leur semblaient impossible et ils passent à 7.5/10, je vous rappelle c’était 6 au début, soit 27% DE CROISSANCE par rapport à la confiance initiale.

Et enfin, là on a fait l’intérieur, pour aller à l’extérieur, on va leur demander de penser à une personne qui les inspirent qui a réussit quelque chose qui lui semblait impossible.

Ils prennent le temps de le retrouver, ils prennent le temps d’y penser et je vais leur demander à nouveau votre niveau de confiance sur 10 il est de combien, quand vous voyez que même à l’extérieur de vous des gens peuvent penser que quelque chose est impossible et il peut devenir possible.

Et je leur demande à nouveau de s’évaluer sur 10 et en l’espace de 5 minutes, ce qui est vraiment intéressant, c’est qu’ils sont passaient en moyenne de 6/10 de confiance à 7.9/10 de confiance soit 33.9% de croissance.

Encore une fois mon propos il est pas de dire que suite à ces 5 minutes, il y en a 33% de plus qui vont réussir leur rêve, mon propos il est de dire que si je passe mon temps à comme je faisais moi, à focaliser sur ce qui est pas possible, à focaliser sur ce que je vais pas réussir, là, c’est sur que je ne vais pas y arriver.

A l’inverse et si je devais refaire l’expérience, je rajouterais une question c’est : votre niveau sur 10 de désir de passer à l’action après le test?

Parce que c’est ça qui fait la différence, à chaque fois que j’ai pu faire l’expérience en réel, là, c’était pas en réel c’était en ligne, sur internet, j’ai pu observer que le niveau d’énergie de la personne montait et son désir derrière de passer à l’action il montait.

Maintenant, ce que je trouve vraiment intéressant là dedans, imaginez, imaginez-nous, vous et moi, tous les jours, nous rappeler des choses qu’on a réussit, des choses impossible qui sont devenus possible, est-ce que ça pourrait transformer notre rapport à ce qui nous semble impossible?

Cette découverte et cette première découverte à déclenché chez moi une frénésie à l’action, je vous rappelle, j’étais mal dans ma peau, timide, avec des pensées de suicide et là d’un coup, je passe d’un tunnel sans lumière avec l’idée qu’il y a d’un coup de l’espoir.

Alors, je fais tout ce qui est en mon pouvoir en me disant qu’un jour, j’arriverai à être heureux, je me mets à parler à des dizaines et centaines d’inconnus dans la rue, je lève la main le plus possible alors que je parlais jamais, je m’inscris au théâtre, je m’inscris au rugby, alors pour le rugby, y a pleins de personnes qui me disent c’est pas flagrant quand on te vois, c’était y a un peu de temps.

Et puis en 2010, je fais la liste de tous les rêves, du plus simple au plus fou que j’aimerais réaliser, parmi cela, il y , il a avait me former aux neurosciences, il y avait le fait de prendre un porte voix pour véhiculer plus ou moins le même message dans le métro, j’ai laissé un paquet de métro pour passer avant d’oser mais j’ai pu le faire.
Et puis, il y avait créer ma chaîne YouTube, je vous laisse imaginer, un timide, mal dans sa peau, j’ai déjà mis 6 mois avant d’oser appuyer sur le bouton publier.

Je publie la vidéo et là j’attends impatiemment mon premier commentaire sur YouTube, vous savez sous la vidéo, des fois la vie est généreuse, mon premier commentaire c’était tu ne mérites pas de vivre donc j’ai mis à petit peu de temps à transformer ça et puis du coup, suite à ça, j’ai crée mon entreprise, j’ai décidé d’animer des conférences tous les jours pour vraiment devenir un meilleur conférencier.

Je me suis lancé le défi fou de partir aux Etats-Unis avec un anglais plus que très très moyen, sans connaitre ces personnes là pour interviewer les personnes qui m’inspiraient.

Alors, j’ai très peu de temps, je suis habitué à faire des conférence qui durent 2 jours, 2 heures, en tous cas plus que 18 minutes donc j’ai peu de temps.

Et récemment je regardais les vidéos et c’est intéressant parce que je vois dans le regard des américains qu’ils comprennent que je les comprends pas, je vois même que quand ils racontent une blague, je vois dans leur yeux qu’ils sont entrain de se dire, est-ce que vraiment il a compris que c’était une blague.

D’ailleurs, après, parce que j’ai fait à peu près 200 interviews, après une dizaine d’interview j’avais quand même développé une technique pour rire dans le doute quand j’étais pas sur que c’était une blague ou pas.

Alors, pourquoi, je suis passé autant à l’action, parce que j’avais ce fantasme que c’est en réalisant tous ces rêves que j’arriverai finalement à être heureux et puis j’ai fait une 2ème découverte qui était encore plus importante pour moi que la 1ère : que ce qui était le plus important et le plus fort dans le fait d’avoir fait toutes ces actions, c’était pas ce que j’avais réalisé au final mais c’était l’homme que j’était devenu, combien ça vaut l’homme qu’on est devenu, l’homme que vous êtes, la femme que vous êtes devenu?

Et donc le but d’un rêve c’est même pas d’être réalisé mais de nous réaliser.

On peut nous enlever notre argent, notre métier, ce qu’on possède, est-ce que vous êtes d’accord qu’on ne peut pas nous enlever la personne que l’on est? Et là c’est complètement différent, tout à l’heure j’agissais vers mes rêves pour un jour peut-être être heureux mais là j’agis vers mes rêves parce que mes rêves me rendent vivant dès maintenant, ils me donnent de l’énergie, dès l’instant, ils me donnent un sens à ma vie, ils me permettent de me sentir bien maintenant tout de suite donc y a plus de peur d’échec, y a plus de peur, qu’est-ce que les autres vont penser, est-ce que je vais y arriver.

Y a juste le fait que si je donne une chance à cet arbre là, je me sens bien, et ça m’amène sur une étude qui m’a remué, qui m’a fait mal au ventre le jour où je l’ai entendu, mais elle m’a fait tellement de bien, c’est une étude qui a été menée par Brownie Ware, une infirmière australienne, elle a été voir les personnes dans le dernier jour de leur vie, en leur demandant comment ils se sentaient par rapport à leur rêve et la majorité d’entres eux avez des regrets, des regrets, non pas pour ce qu’ils avaient fait, des regrets pour ce qu’ils n’avaient pas fait, pour les rêves auxquels ils n’avaient donné aucune chance, pour les risques qu’ils n’avaient pas pris.

A la fin de notre vie, tous ici, qui on a envie d’être, est-ce qu’on a envie d’être la personne qui sous-prétexte a aucune chance d’y arriver, à écrabouiller son arbre ou est-ce qu’on a envie d’être la personne qui peut-être n’a pas réussi mais à au moins donné une chance à son rêve.

La personne qui a la fin de sa vie se dit, oui, j’ai échouer mais est capable de regarder son enfant, son fils, sa fille et dire j’ai au moins essayé, je suis fier de moi.

Dans mes conférences je dis souvent que les enfants ont changé ma vie, les gens me regardent bizarrement parce que j’ai pas d’enfants, je leur dit que y a pas besoin d’avoir des enfants pour savoir que mes enfants ils ont déjà changé ma vie, rien que le fait que je sache que je veux des enfants, c’est que j’ai envie dès maintenant de décider de quel papa ils vont avoir, je sais pas quand je vais les avoirs hein mais dans 1 ans, 2 ans, 5 ans, 10 ans et j’ai envie de pouvoir leur dire peut importe ce que j’ai réussi ou non que j’ai donné une chance à cet arbre là.

Avancer vers ses rêves c’est une façon de prendre soin de soi, c’est un acte d’amour envers soi. Au début j’étais intéressé comme je vous le disais par réussir plus tard mais j’ai compris qu’à chaque fois que je vois une personne s’occuper de ces rêves, elle devient vibrante, elle devient illuminé même.

Du coup, la différence que ça a fait en moi cette 2ème découverte, c’est que j’allais plus vers mes rêves pour réussir, j’allais vers mes rêves parce que simplement en y allant, j’avais la sensation de m’occuper de moi, la sensation de faire quelque chose qui était important pour moi et la possibilité de pouvoir être fier de moi et du coup pour en revenir à cet arbre, je pouvais m’occuper de cet arbre juste parce que ça m’honoré, je ne m’attendais pas à faire cette 3ème découverte :

Le 17 novembre 2014, je reçois un sms, ce sms dit : David Laroche m’inspire, comme il inspire son public, je vais réalisé un rêve qui n’a que 20 ans, une nouvelle vie va commencer.

Quand je lis ce sms j’ai mes larmes qui coulent sur mon visage puisque ce sms c’est le sms de ma mère, pendant longtemps je voulais qu’elle entende les messages que je lisais et puis un jour j’ai compris cette 3ème découverte.

Que quand tu t’occupes de ton arbre, y a des gens qui te vois sans même que tu saches qu’elles te voient et des fois elles se disent si c’est possible pour lui, si c’est possible pour elle c’est peut-être possible pour moi, là c’est complètement différent.

Tout à l’heure, je vous parlais de réaliser des rêves pour réaliser des rêves, ça pouvait faire pousse à l’américaine, dans un 2ème temps je vous parlais de réaliser des rêves pour devenir une nouvelle personne mais là c’est autre chose, là, il s’agit des gens qu’on aime, il s’agit de nos parents, de nos enfants, de nos frères et sœurs, il s’agit peut-être des gens qui sont dans une salle, il s’agit peut-être d’un taxi avec lequel on peut parler.

Ça donne tellement plus de puissance à cette 1ère découverte, on a la chance comme dit Gandhi avec cette idée que ma vie est mon message, on a la chance, on s’occupant de notre arbre, de peut-être voir quelqu’un s’occuper du sien.

Tous ici s’imagine et j’aimerais avoir le temps de vous écouter, si vous êtes la personne que vous êtes c’est grâce à quelqu’un qui a su vous inspirer, quelqu’un qui a su vous dire, sans même s’en rendre compte desfois, oui c’est possible pour toi, oui, tu peux le faire, ça peut être un professeur, un ami, un parent, un collègue.

On a la chance aujourd’hui et le pouvoir aujourd’hui d’être cette personne pour quelqu’un d’autre, non pas en voulant l’aider, juste en voulant s’aider, juste en donnant une chance à nos rêves.

Parfois quand je discute avec des personnes que ça soit dans le taxi, dans le métro, n’importe ou dans le monde, je ressens de la frustration, parce que defois quand je creuse, je réalise qu’il y a des rêves non réalisés, des rêves non réalisés non pas parce que la personne à échouer mais juste parce qu’elle n’a même pas essayé.

Vous savez pourquoi je ressens de la frustration, je ressens de la frustration parce que je connais par coeur ce que c’est d’écraser ses rêves, je sais par coeur ce que c’est de me retrouver des excuses, je sais par coeur ce que c’est d’en être dans cette situation, c’est la raison pour laquelle que si c’était ma dernière conférence de ma vie, la dernière occasion de m’exprimer auprès de quelqu’un que j’aime, j’aimerais qu’il entende dans ses tripes, au fond de lui, à l’intérieur de lui, oui, c’est possible.

Quel rêve, quel projet, vous avez tendance à écraser, juste sous prétexte que c’est peut-être impossible, juste sous prétexte que personne ne l’a fait, juste sous prétexte que ça paraît dur.

Notre 1ère découverte c’est que, nous ne savons pas ce qui est possible ou non, alors, pourquoi pas agir comme si tout était possible.

Notre 2ème découverte c’est que finalement donner une chance à nos rêves, ça nous rend vivant, ça donne un sens à nos vies, que finalement le vie des rêves n’est pas de réussir un jour plus tard amis de nous donner de l’énergie ici et maintenant.
Qu’à chaque fois qu’on s’autorise à croire en ses rêves et d’y aller, c’est pas des buts qu’on atteints, des objectifs qu’on atteints mais c’est une nouvelle personne qu’on devient.

Imaginons, qui on pourrait être dans 1 mois, 10 ans, 20 ans, 30 ans et notre dernier jour de notre vie si on donne une chance à nos rêves.

Notre 3ème découverte, c’était que, peut-être, qu’en ayant le courage de s’en occuper, y a quelqu’un qui va nous voir et qui va nous dire si c’est possible pour lui, c’est possible pour moi, alors, aujourd’hui, on a un choix, le choix de donner une chance à un rêve encore possible, peut-être qu’on en a écraser un mais il nous en reste et ils nous attendent.

On a le choix d’y croire, on a le choix de nous en occuper, on a le choix d’agir, non pas parce que c’est facile, ni même parce que c’est difficile mais juste parce que cet arbre représente notre vie.

Alors, aujourd’hui, donnons une chance à un de nos rêves, juste parce que c’est peut-être possible.

Merci à vous.

PS : David nous explique comment transformer ce qui est impossible en possible.

David est un coach, formateur et conférencier dont le travail vise à aider les personnes à gagner en confiance, accélérer leurs résultats et réaliser leurs objectifs. Prodige de la confiance en soi, il dépasse les 10 millions de vues de ses vidéos sur Internet, dans lesquelles il partage le fruit de ses recherches et expériences sur les facteurs de la réussite et du bien-être. David est animé par la transmission des clefs permettant de libérer le potentiel présent en chaque être humain afin de se créer une vie sur-mesure.

email